meurtre au forum des ecrivains

recit programme 3 lettre I

Lorsque je pénétrais dans mon bureau ce matin là, je fus surpris par l'odeur de ce parfum envoûtant et par le fait que ma porte soit entrouverte.
Elle était là assise et ses yeux sombres scrutaient la fenêtre. Elle semblait perdue dans ses pensées. Ce qui tranchait surtout c'était son allure : elle était parfaite, pas une faute de goût dans ses vêtements et sa tenue bien que stricte montrait que cette fille était une dame et certainement l'épouse d'un notable du coin.
Mon bureau n'en avait que l'air plus misérable et lorsque d'une voix mal assurée je lui demandais la raison de sa visite, elle m'annonça d'un ton froid être la femme du docteur JIVAGO et voulait que j'enquête sur son mari.

Les affaires étant plutôt calmes en ce moment, j’acceptais sa proposition. Après avoir convenu de mes honoraires, elle me confia une enveloppe renfermant des photos de son mari en charmante compagnie. Elle comptait divorcer et voulait gagner son procès. Elle précisa enfin que son époux disposait d’une « garçonnière » où il passait le plus clair de son temps avec sa maîtresse. La situation financière du couple JIVAGO était plus que bourgeoise. Monsieur était maître de conférence à la faculté de médecine et adjoint au Maire de la ville. Il était à la tête d’une fortune considérable. Elle était professeur en chirurgie à l’hôpital local où elle exerçait également les fonctions de présidente du conseil d’administration.
Nous nous quittâmes après les salutations habituelles.

Le jour suivant, au matin, je décidais de « planquer » devant la garçonnière. Rien ne se passa. Ni le lendemain d’ailleurs, ni le surlendemain. Je décidais alors de contacter le concierge. Après l’avoir baratiné quelque peu, il se décida à m’ouvrir la porte de l’appartement. Ce que je découvris me glaça d’horreur. Un homme était allongé sur le lit. Un filet de sang déjà coagulé s’échappait de sa tempe droite. Les draps étaient maculés.
L’état du corps me confirma qu’il était mort depuis plusieurs jours. Non loin du cadavre se trouvait un pistolet. Sur la table de chevet, un mot expliquait que M. JIVAGO en avait assez de vivre et qu’il allait mettre fin à ses jours. Il avait réalisé son souhait.

N’étant que détective privé, il me fallait faire appel aux services de Police, ce que je fis avec empressement. J’avais hâte de quitter les lieux. L’enquête pour suicide fût clôturée.

De retour à mon bureau, je contactai Madame JIVAGO pour lui annoncer ce que je venais de découvrir. C’est une femme en larmes qui arriva dans mon bureau peu de temps après. Elle ne fit aucun problème pour me régler mes honoraires et prit congé.

Quinze jours plus tard, dans mon tiroir de bureau, je retrouvai l’enveloppe renfermant les photos du Docteur JIVAGO. Je les regardais une à une quand soudain un cri sortit de ma gorge : « Bon sang, mais c’est bien sûr !! ».

Je venais de comprendre. M. JIVAGO ne s’était pas suicidé mais avait été assassiné.

Pourquoi et comment, me direz-vous ? Tout était clair.. Sur une photo, on voyait cet homme avec un parapluie. Sur une autre, il ouvrait sa portière de voiture, puis la porte de sa garçonnière. Une 4ème le montrait avec une cigarette. Et chose étonnante, il faisait tout de la main gauche. M. JIVAGO était gaucher. Comment alors et pourquoi ce serait-il tiré une balle dans la tempe droite. Impossible.

J’appelai la veuve par téléphone afin qu’elle vienne récupérer les photos oubliées. Elle vint l’après-midi. Je lui fis part de mes constatations et oh ! Surprise, elle fondit en larmes. Après quelques balbutiements, elle me déclara qu’elle été allée trouver son époux pour avoir des explications sur sa conduite. Elle était folle de rage et avait pris avec elle le pistolet (relique de la dernière guerre mondiale) que son mari avait hérité de son père. Devant le refus de son mari de quitter sa maîtresse, elle lui avait tiré une balle en pleine tempe. Ecrivant elle-même la lettre en imitant à la perfection l’écriture de son mari, elle avait maquillé le meurtre en suicide. Elle avait agit ainsi, non seulement pour ne pas être accusée de meurtre, mais également afin de garder tous les biens appartenant au couple. De plus l’assurance-vie de son époux lui rapportait la coquette somme de 1 million d’euros..

Voilà, Madame JIVADO fût remise entre les mains de la Police, fût condamnée à 20 ans d’emprisonnement. Ses biens purent fructifier durant toutes ces années.

Moralité : Bien mal acquis ne profite jamais..

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ce matin la ,je me reveillais comme chaque matin depuis quelques semaines ,avec l'impression de ne pas avoir dormie
ma tete bouillonner a la limite de la douleur et cette boule qui portait mon estomac a ma bouche ne s'estompée plus a ce jour
cinq cent mille euros....il me faut trouver cette somme faramineuse
et dans les plus bref delai sinon je suis foutue..la banque va meruiner et je vais tout perdre , mon forum et mon statut de proprietaire ..

[size=12]comme toujour en cas de probleme,j'avais prit rendez vous
avec mon ami Jeff c'est lui qui avait sortie les cadavres du placard
et mavais permis d'eliminer un a un tout les candidats potentiels
pour l'aquisition du forum et la encore j'etais sur qu'il sortirait une
solution de sa boite a malice
au moment ou il se posa avec lenteur sur le siege de ma voiture
je vis qu'il avais un souci ,,j'ai un boulot me lança t'il ,une histoire
de fesses et c'est du gros poisson, la femme d'un notable,y faut que
je prennes des photos de son mari avec sa poule du moment
il ne le savait pas encore mais Jeff venait de sceller mon destin
le soir meme j'etais en embuscade devant chez le docteur wisti
et lorsqu'il se rendit chez sa maitresse,, moi de mon coté je reussis
a tirer une quarantaine de clichet tous plus explicite les un que les autres
et lorsque en douceur je quittais les lieux je vis mon pauvre Jeff couché dans
le parc a tenter de tirer quelque photos
le lendemain matin je passais discretement au cabinet du docteur et lui glissais
quelques photos dans sa boite avec dans l'enveloppe la promesse d'un prochain
contact,,et je me rendis chez Jeff aux nouvelles
il m'appris que lui aussi avait de bon clichets mais qu'il avait décidé de faire durer
un peu l'enquete afin de faire plus de fric et qui sait me dit il avec un petit sourire
que je lui connaissais bien
au bout de quelques jours je pris contact avec mon toubib il devait etre a point
la mon wisti et je ny allais pas par quatre chemins je lui annoncais de suite que
mon silence lui couteré 500000euros ,, il tenta de negocier mais je restais de marbre
et lui donnait huit jour pour reunir la somme
au bout de trois jours Jeff m'annonça que le toubit devait l'avoir reperé car plus
moyen de le surprendre et qu'il lui fallait maintenant mener l'affaire a therme au
plus vite
le surlendemain j'appellais donc ma victime afin de lui faire cracher le magot
loin d'etre surpris par mon appel le toubib me proposa un rendez vous a mon choix
il avait la somme demandé
le parc etait sombre poisseux et cela fesait une bonne heure que j'etais planqué
dans ce buisson ,,de la ou j'etais personne ne pouvait approcher sans que je
ne puisses le voir
et quand enfin il arriva , j'ordonnais au toubib de ne pas se retourner et de laisser
tomber l'enveloppe avec le pognon sur le sol...d'un geste il se separa du precieux
coli et de mon coté je lui envoyais photos et negatifs a la figure il perdit pied notre
toubib par des gestes desordonnés il tentait de recuperer le matos du deshonneur
moi de mon coté je pris mes jambes a mon cou et je filais le plus vite possible
au bout d'un long moment hors d'haleine j'interompis ma course et me mis a triturer
les billets ,,bang sang quel paquet
soudain une detonnation retentit ,,je m'elançais pour fuir et tombais droit dans les bras
de .......Jeff ?,
ouf c'est toi lui dis je , y se passe quoi la ? sais pas me repondit il ,faut allé voir et vite
je n'avais plus le choix et lui expliquand ma presense au parc pour un vague rendez vous galant
je lui emboitais le pas
ce que nous vimes nous glaça d'effroi ,,le docteur wisti etait la allongé sur le sol baignant
dans son sang
et a son coté sa femme pistolet a la main l'insultait alors que le pauvre homme agonisait
au bord de la crise de nerf elle nous mis en joue ,d'un geste brusque Jeff l'a repoussa et
s'empara de l'arme et tenta de la raisonner elle s'effondra en pleurs dans ses bras
tendant son bras vers moi il me passa le pistolet
j'etais sauvé il etais mort le toubib et c'est sa femme qui partait en tole moi je payais
mes dettes fin
y faut appeler les flics Jeff ça a mal tourné ton histoire hhhaaaa non pas du tout me
dit il espece de salaud
tes empreintes sont sur l'arme et maintenant tu sors le fric et vite ,,un tube froid vint
appuyer sur mon front.. je mitraillais du doigt le pistolet desesperament vide de la femme
qui bizarement etait d'un calme froid
a l'aide de son arme Jeff me repoussa d'un bon mettre et prenant la femme par la taille
il lacha une balle qui me frappa en pleine poitrine ..il se pencha sur moi et me murmura
tu n'est qu'un louzer pauvre con ...j'ai tout recuperé ,, la femme ,,le fric et ton forum
et moi j'etais la parterre en train de mourrir pendant que lui embrassai la femme et la seulement
je me rendis compte que tout avait eté trop facile mais la il etait trop tard
comme quoi mal acquit peut rapporter gros pas vrais Jeff
fin

programme 1 lettre c

Lorsque je pénétrais dans mon bureau ce matin la, je fus surpris par
l'odeur de ce parfum envoûtant et par le fait que ma porte soit entrouverte.
Elle était la assise et ses yeux sombres scrutaient la fenêtre elle semblait perdue dans ses pensée ...ce qui tranchait surtout c'était son allure, elle était parfaite pas une faute de goût dans ses vêtements et sa tenue bien que stricte montrait bien que cette fille
était une dame et certainement l'épouse d'un notable du coin
mon bureau n'en avait que l'air plus misérable et lorsque d'une voix mal assurée je lui demandais la raison de sa visite. Elle m'annonça d'un ton froid être la femme du docteur Rongoon et voulait que j'enquête sur son mari.
Je restais muet, serait-ce possible, là dans mon bureau se trouve LARA la femme de mon ami d’enfance et il faut en plus que j’enquête sur lui. Mes affaires étaient au plus mal en ce moment et je ne pouvais me permettre de refuser une affaire même aussi glauque.
Essayant tant bien que mal de cacher mon malaise intérieur je prenais congés de Lara après avoir consulté les documents qu’elle m’avait apporter.

Dés qu’elle fut sortie je me servit un scotch et m’effondra dans mon fauteuil de cuir. Apres un long moment d’hésitation j’ouvris la pochette de lara. J’y trouve pelle mêle des notes d’hôtel, de restaurants aux montants exorbitants. Et une photo de RONGOON, les questions fusent pourquoi ne l’ai-je pas vu depuis tout ce temps ? Pourquoi LARA était-elle venue me voir moi ? Qui était cette belle brune à coté de RONGOON ? Le plus simple était de régler cette affaire au plus vite et toutes mes questions auraient sûrement des réponses.

Je pris donc mon courage, direction la tour d’argent si j’en crois les notes laissées c’est la cantine du respectable docteur. Les destins se ressemblent pas pour nous deux les enfants de lorraine lui chirurgien réputé et moi simple détective privé obligé d’enquêter sur les ébats du premier.

Arrivé devant la tour d’argent je n’eu pas longtemps à attendre, je vis RONGOON sortir. Il n’avait pas changer d’un trait ce grand échalas toujours très classe dans son costume gus hi. La femme a son bras avait elle belle et bien changer cette belle brune d’une vingtaine d’années tout au plus semblait sortir tout droit d’un rêve.
Apres une courte filature, la Mercedes de RONGOON s’engagea dans la cour d’un hôtel particulier. Après avoir réussit à prendre quelques clichés d’eux, je profitais de l’attente pour éclaircir l’identité de la belle brune. Grâce a l’adresse de l’hôtel j’obtint un nom LACOLOMBE, même son nom sonne comme un rêve. Je commence à comprendre le désarroi de LARA dans mon cabinet. Pour aujourd’hui j’ai eu mon lot de découverte je décidais donc de rentrer au bureau et de mettre sur papier mon début de rapport.

Les secondes s’égrenaient sur mon horloge de bureau lorsque d’un coup la porte de mon bureau s’ouvrit a toute volé. Quelle ne fut pas ma stupéfaction de voir rentrer LACOLOMBE elle-même dans mon bureau. Elle était encore plus belle que tout a l’heure au bras de mon ancien ami, elle retira son manteau noir et le mit sur le divan, alors qu’elle s’approchait du bureau dans sa robe bleue nuit je pus distinguer dans ses yeux un mélange de sentiments entre la peur et la détermination.
La gorge sèche je balbutie un bonjour et m’empresse de lui demander ce qui me valait l’honneur de sa visite.
Je sais que vous enquêtez sur le docteur RONGOON, me lança t’elle d’un ton sec comme elle m’aurait mis un uppercut en plein visage. Ce n’est pas possible moi le grand GAVROCHE je n’ai pas pu me faire surprendre au bout d’un seul petit après-midi de filature. Je décidais donc de jouer franc jeu :

« _comment le savez vous ? C’est lui qui vous envoie ?
_ non mais je c’est que LARA a des doute a notre sujet et que vous étiez son meilleur ami d’enfance, si j’avais été à la place de LARA c’est également vous que j’aurais choisi. Je viens juste vous demander d’arrêter de suite votre enquête. Vous ne réussiriez qu’à attirer des ennuis » sur ces derniers mots elle fit demi-tour reprit son vêtement et repartit encore plus vite qu’elle n’était rentré.
Elle me laissa ainsi n’ayant pas pu répondre quoi que ce soit. Décidément cette affaire, et c’était une grande première pour moi, allait être très difficile à gérer.

LACOLOMBE savait donc ce qui me liait a RONGOON, il est vrai aucun autre détective connait mieux que moi, ce vieux chasseur qu’est notre RONGOON ce qui le motive ce qui le fait vibrer. Justement je viens à me demander ce qu’il fait avec cette fille RONGOON n’ai pas du genre volage et cette petite jeunette avec son air d’ange ne s’associe pas avec.
De nouveau des questions me taraudent et surtout celle qui a bercer tout au long de ma vie « mais que suis-je en train de faire ? ».
Je passais une longue nuit blanche, là assis dans mon bureau a peser le pour et le contre : dois-je continuer ? La réponse est où ? J’ai dans ma tête trop de « pourquoi » qui bouillonnent.

Dés l’aube je me mis a enquêter sur LACOLOMBE, c’est définitivement la clef de l’histoire après tout. LACOLOMBE après avoir vécu une existence paisible en campagne normande née de père inconnu. Comme beaucoup d’autres adolescentes de son âge elle rêvait de mannequina, à la différence des autres, elle a percé dans le métier et gagnât Paris il y a un an, pour en faire sa carrière. C’était donc pour sa que son visage ne m’était pas indifférent, elle faisait la une de tout les magasines. A part cela elle mène une vie bien tranquille et bien loin des ennuis qu’elle me prédisait pour RONGOON.

Je m’apprêtais à prendre rendez-vous avec LARA afin de lui donner mon rapport mais en le relisant je sentais bien qu’il sonnait faux … surtout la ligne de conclusion le docteur RONGOON vous trompe avec une certaine LACOLOMBE… Pourtant je n’avais pas bâcler mon enquête RONGOON et elle se voyaient dés que LARA s’absentait depuis plus d’un an aux dires de certains voisins peu scrupuleux devant les billets. Il est vrai que j’avais aussi mentionné dans mon rapport ne jamais avoir vu les deux s’embrasser publiquement mais cette ligne passera sûrement inaperçue. Voila que je jette un point final aux 20 années de mariage de RONGOON et Lara.

Voilà c’est le moment, mon bras me parut lourd au moment de prendre le téléphone. Lara ne voulut pas avoir mes explications au téléphone, et me donna rendez-vous chez elle.

Une grande grille s’ouvrit a l’approche de ma 403 décapotable sur une immense bâtisse, y’a pas a dire il a réussit le RONGOON ! J’avais à peine mis le pied sur les marches du perron qu’une détonation retentit. Mon sang me glaçât mes veines. Je saisis mon colt toujours caché dans mon imper et me précipitât dans la maison. Après avoir passer un dédale de salles, je pénétrais dans le petit salon de lecture. Cette pièce, d’habitude calme, était chargée d’électricité. A ma droite se tenait LARA un fusil de chasse a RONGOON dans les mains, le canon fumé encore au sol gisait RONGOON le visage de mon ami était comme étonné de ce qui se passait. Sans perdre un instant je me jetais à genoux sans me préoccuper de l’arme que LARA pointait sur moi. RONGOON me reconnut aussitôt et dans un dernier souffle me murmura « pardon tout est ma faute, je t’aime mon ami, puis dans un dernier regard vers LARA il lui lança toi aussi je t’aime, je ne t’ai jamais tromper LACOLOMBE était juste ma…….. ».

J’appelais donc les services de police et remis LARA aux mains de l’inspecteur WISTITI, une jeune recrue aux dents longues. Je l’avais eu dans mon service, avant que je me mette à mon compte, et je savais que je pouvais lui faire confiance. Je lui expliquais donc la situation et le pria d’entrer en contact avec LACOLOMBE et de la laisser parler à LARA afin de résoudre cette énigme. IL accédât à ma requête.

La veille du jugement LARA aidé par une codétenue peu scrupuleuse avait réussi a obtenir une boîte de somnifères qu’elle avalât. Avant de s’endormir et de rejoindre RONGOON elle a laissé une lettre à mon attention.

Cher gavroche….
Saches pour commencer que RONGOON s’en est toujours voulu et ronger les sangs de ne plus pouvoir te parler. J’ai tué mon mari par amour, cela parait bizarre, mais oui on peut tuer par amour, je ne savais plus ou j’étais. Ceci et dramatique car ma jalousie ma aveuglé et le comportement de RONGOON comme tu l’a vu toi aussi m’a mise sur la mauvaise piste. Je n’avait aucun remord jusque ce que monsieur WISTITI me fasse rencontrer LACOLOMBE. En fait si ils se voyaient souvent avec RONGOON c’est parce que RONGOON et elle espérer retrouver quelqu’un qui leur et cher a tout deux …. Toi
En effet, RONGOON et toi vous vous étiez fâché car par jalousie tu croyais qu’il était parti avec MYSTY, mais ce n’était pas cela. MYSTY et partie car elle attendait un enfant de toi et elle n’a jamais osé te l’avouer. Son seul confident à l’époque était RONGOON et tu as fait un amalgame tout comme moi maintenant…
Voila je part rejoindre mon mari et ton ami la haut mais on ne te laisse pas seul.
Ps) prend soin d’elle mais aussi de ton gendre …


Je finit de lire la lettre les larmes me coulaient des joues quand WISTITI sonna à ma porte. Etonné de le voir j’allais demandé ce qu’il faisait là, lorsqu’il s’écarta laissant passer LACOLOMBE dans son plus belle apparat. Ca y est, j’ai compris comment WISTITI avait fait pour organiser aussi vite le rendez vous avec LARA c'était son mari. Le mari de ma fille……..

Depuis ce jour je vie ma retraite paisiblement dans une maison pleine de petits enfants. Et sur la tombe de LARA on y a planté un rosier et celle de RONGOON un chêne avec les années le chêne protége le rosier qui lui s’est greffer au tronc en son cœur. L'amour de LARA pour RONGOON les a tué tous les deux, mais ma redonné à moi alors que je n’y croyais plus, amour et famille merci les amis …….

lettre a programme 3

progamme 1 lettre E

ce matin la j'avais enfin trouvée l'homme qui allait prendre soin de moi et de plus il etait docteur donc pas de probleme pour mon avenir,,si je manoeuvrais bien je pourrais enfin entrer dans mes meubles , bien sur il restait le probleme d'une vielle liaison a faire disparaitre mais j'avais sa parole
le docteur wisti de son coté savait qu'il lui faudrais se debarasser de lara car maintenant elle devenait pesante et avec ce maitre chanteur qui le harcelé inutile de s'encombrer de ce poid mort
pour faire bonne figure il appellerait lara et lui dirait que le maitre chanteur lui reclamé cinq cent mille euros pour son silence et que cela impliqué de ne plus la voire de toute façon la transaction terminée il serait sur la paille et ne pourrais plus couvrir ses frais..elle partirait d'elle meme..
en fin de soirée il déboulla chez alezia et apres un copieux diner decida de tenter le tout pour le tout et de lui expliquer sa position ..voila dit il j'ai affaire a un maitre chanteur et demain a la nuit je lui remettrais une grosse somme d'argent
afin de preserver mon couple car en fait c'est colombine qui a le fric dont nous aurons besoin pour nous installer ensemble
alezia ne broncha pas d'un cil elle n'en avait rien a faire de ses problemes , le principal c'etait de pouvoir par la suite se preserver de la pauvretée dans laquelle elle peinait depuis trop longtemp et pour cela elle etait prete a tout les sacrifices
le lendemain sur le palier du cabinet de son nouvel amant elle aperçue cette femme qui a son avis etait sa rivale
pas de doute que wisti l'avait remarqué lui aussi mais il resta impassible et quand elle tourna les talents alezia
sentit que le probleme viendrai de cette femme
c'est en fait ce qui la decida a la suivre des le lendemain , un simple bis sur le telephone de wisti lui avait permie de trouver son adresse et le reste ne fut qu'un jeu d'enfant .. d'abors elle fut surprise de la voir se rendre regulierement chez la femme de son amant et plus encore de voir que cette femme bien sous tout rapport entretenait une liaison avec un
obscur detective , pour quelle raison la femme du docteur wisti pouvait elle bien le tromper avec cet homme sans envergure.
jour apres jour alezia lentement se forgea une opignon et bien que certain evenement lui echappait elle se rendait bien compte que maintenant le pire allait arriver ,,toutes ces allée et venue montrer bien que le denouement approchait
le soir ou wisti se rendit au rendez vous du maitre chanteur alezia elle de son coté etait en surveillance au domicile de colombine
celle ci jaillit de chez elle avec lara et toute deux monterent en voiture avec le detective la voiture demara aussitot et alezia les suivit discretement...arrivé au parc un drole de manege s'enchaina le detective disparu dans la nuit et les
deux femmes se dirigerent vers un endroit isolé du parc ........alezia resta caché un long moment et ne fut guerre
surprise d'entendre les premieres detonnations ,,elle entendit aussi les hurlements de haine de colombine et le coup de feu qui suivit un peu plus tard elle vit revenir les trois comparses et assista medusée a l'assassinat de ce pauvre
detective ..les deux femme le fouillait et elle s'emparraire du magot puis disparurent dans la nuit ...
alezia attendit un bon moment et elle se sauva a toute vitesse du parc
.elle se rendit compte de par sa surveillence que la police fesait beaucoup de visite a lacolombe mais que malgré tout
elle ne semblait pas etre plus inquieté que cela , compte a lara elle , on ne la voyait plus trainer dans les parages
c'est donc a lara que sa lettre anonyme parviendra !!!
deux cent cinquante mille euros une bagatelle pour ses deux viperes ..a jeter d'un pont sur l'autoroute sortie auxerres
en pleine nuit..
sinon les indices pour mettre la police sur la voie allés pleuvoir au commisariat ..le soir meme elle vit que lara bravant sa peur se rendit chez colombine et la alezia leurs telephona de suite et fixa son rendez vous pour l'heure suivante
surtout ne pas leurs laisser le temp de se reorganiser a ces deux tueuses ..
a une heure du matin sa voiture de location etait garée sous le pont et lorsque enfin les deux femmes apparurent
sur la rembarde elle leurs fit le signe convenue le sac tomba a ses pieds et apres un rapide controle elle se precipita dans sa voiture et disparue dans la nuit et voila se dit elle la richesse n'attent pas le nombre des années
fin

programme 3 lettre G


Lorsque je penetrais dans mon bureau ce matin la ,je fus surprise par
l'odeur de ce parfum de cigare et par le fait que ma porte soit entrouverte .
il etais la assis et ses yeux sombres scrutait la fenetre il semblait perdu dans ses pensée ...ce qui tranchait surtout c'etait son allure ,il etait parfait pas une faute de gout dans ses vetement et sa tenue bien que stricte montrais bien que cet homme ,etait le mari d'une femme tres haut placé .Mon bureau n'en avait que l'air plus miserable et lorsque d'une voie mal assurée je lui demandais la raison de sa visite ,il m'annonça d'un ton froid etre le mari du docteur lara et voulais que j'enquete sur sa femme il se demandais si elle ne se doutais pas qu'il avais une relation avec l'infirmier (un genre de petit titi parisien d'une trentaine d'année) quelle venais d'engager en temps que directrice de l'hopital ou elle travailler depuis plus de trente ans .Il expliqua à la detective lacolombe que depuis quelques matin elle se reveillais avec une impression de ne pas avoir dormis
"-ou alors elle se doute de quelque chose ,soit ma liaison avec le titi parisien soit que se soit disant caramel me fait chanter justement pour ma relation avec se monsieur.Un petit escro s'en envergure se caramel , il ma demandé quand meme cinq cent mille euro pour sont silence soit je paye soit il dis tout a ma femme j'ai du allors allé voir mon banquier qui apres lui avoir expliqué ma situation me trouva une solution hypotequer la maison de ma chere epouse pour pouvoir payer la rançon a se triste individu ,si je n'arrive pas a trouver une solution mon banquier va me ruiner je vais tout perdre l'amour et le confort que m'aporte ma femme ,mon forum ,et mon statut de proprietaire de l'hopital , suite au rachat des actions que j'ai pu avoir pour une boucher de pain ".
Le jour meme la detective lacolombe fi appel a sont ami wistiti detective lui aussi il irais voir se ti escro , elle se chargerais d'aller voir se fameux docteur .
Lacolombe alla a l'hopital c'etais pas trop le moment le docteur sortais d'une operation mais elle accorda quand meme un entretien . Lacolombe ,par des chemins detourné esayas de savoir, et a sa grande stupefaction elle apris que cette femme, poutant tres amoureuse de son mari etais au courant de tout , elle se demandais si elle n'aurais pas monté le coup du chantage .
Elle pris conger et retourna a sont bureau .A peine a t'elle ouvert la porte quelle apercu wistiti deja bien instaler , il lui raconta sont entretien avec caramel et d'un commum accord ils deciderent de les prendres en filature car il y avais anguille sous roche,elle filerais cette joli dame et lui se petit escroc.Deux jours plus tard, ils en conclurent qu'ils avaient eu raison : le mari et l'infirmier le docteur et le maitre chanteur .Lacolombe et wititi decouvrire que le docteur avais reserver deux vol via les sechelles pour le samedi a venir .
Les filatures se sucsedaient quelle fu pas la surprise des deux detectives quand le mari du docteur telephona au bureau pour avertir lacolombe que caramel passerais le landemain pour recuperer la rançon .Lacolombe lui dit " ne vous inquieter pas on s'occupe de tout ".
Elle commencas a telephoner ,comme le rendez vous etais a vingt heure ,elle dit au docteur
"-j'ai du nouveau faudrais que vous soyer chez vous a vingt heure tres precise" .Puis elle composa le numero de l'hopital , demanda l'infirmier, la elle lui raconta que le docteur voulais le voir suite a un incident qui s'est produit a l'hopital mais quelle lui demandais de venir chez elle a vingt heure tres precise, il accepta .
Voila le face a face mortel etais prevu restais plus qu'a trouver les gilets pare bale pour elle et wistiti, au cas ou cella tournerais au drame.
Le soir venu elle se retrouvais avec wistiti chez le docteur en compagnie de sont mari . Le premier arriver fu le petit titi parisien , tres surpris de se trouver face a face avec le mari du docteur puis ce fu le tour de caramel ,il fu surpris lui aussi de les trouver tout les deux la, mais se dit que finalement se serais pas plus mal .La convertation commencais a aller bon train et le ton commencais a monter entre le maitre chanteur et les deux amants (lolll). Soudain un coups de feux parti le titi s'ecroula s'est la que le docteur arriva elle vi sont mari et caramel un pistoler a la main ,
elle s'ecria "o mon dieu qui a tirer" elle etais comme folle .C'est la, que les coups de feu commence a eclater.Quand lacolombe et wistiti reprirent leurs esprits ayant ete juste assomé, grace au gilet pare balles il decouvrire qu'il avais ete tous tuer, a coté de caramel juste une tite valise avec le montant de la rançon .
Valise d'ailleur jamais retrouvée , l'enquete de police classée s'en suite dans les drames conjugaux.
Quelques mois plus tard lacolombe ferma sont cabinet de detective privé et parti au soleil avec le detective wistiti.......fin

ça y est, j'ai voté....
Je n'ai pas voté pour mon récit, mais cela va de soi.... ça n'avait aucun charme..
Le choix a été difficile car toutes ces histoires sont plaisantes, drôles à lire et pleines de rebondissements.
J'ai même été étonné de voir à quelle sauce j'étais "mangé" dans certains écrits... Mais on m'accuse de choses incroyables !!!!
Si cette nuit, je cauchemarde, il ne faudra pas que je me demande pourquoi.... C'est pire que Dallas...

bravo aux gagnants.....

Les récits sont encore une fois pleins d'imagination, de cohérence et d'humur...

Ce fut un plaisir de vous lire